Il était une fois Noa

Le 14 juillet, ses vendeurs de merguez, ses gamins qui font péter des pétards, ceux qui les fument. Le temps était très beau, la température estivale. Nous sommes allé à notre restaurant sénégalais préféré avec des amis avant d’aller tranquillement sur les quais du Rhône à Guillotière. Il y avait du monde, il y avait du bruit et Noa regardait de tous les cotés cette effervescence un sourire collé sur son visage faisant un trait d’union d’une oreille à l’autre.

A 22h30, fourvière s’est éteint et les artificiers ont pu exprimer tout leur art. Sous les yeux émerveillés de… votre serviteur. Parce que Noa a royalement snobé le feu d’artifice. Nous étions assez loin afin qu’elle ne soit pas effrayée par les explosions, mais avec le vent, le son était quasi nul. Si bien que Noa a exprimé le souhait d’aller se coucher elle a quitté les bras de ses parents pour retrouver le confort de sa poussette. Nous sommes ensuite rentré tranquillement à pied chez nous.